1er mai
2 mai
3 mai
4 mai
5 mai
6-
8 mai
C’est le départ ! Bruno va mieux et moi impeccable ! Les sacs sont bouclés (d’affaires sales, hummmm). Aéroport, vol pour Singapour, 24h à Singapour mais notre petite forme ne nous permet pas d’en profiter (à part le Mac Do de l’aéroport …), vol à nouveau. 10 mai, on atterrit à Auckland, retour à la maison.
C’est l’heure du repos pour Bruno, du déballage des sacs, des lessives, de retrouver les mails et une drôle d’impression de ne pas rentrer « chez nous », Thétys étant toujours en travaux et hors de l’eau. Sans domicile fixe … mais avec des souvenirs incroyables, et des milliers de photos et des kilomètres de notes à trier dans les prochaines semaines !
Ça va mieux, et on ressort enfin de l’hôtel pour poursuivre notre visite de Katmandou et ses environs, à petite dose quand même. Bruit, monde, et pollution sont plus difficiles à apprécier quand on tient à peine sur ses jambes. Double tranchant d’un pays qui ne laisse pas indifférent !
Alors Thamel à nouveau, puis Patan avec son Durbar Square et ses temples, plus le musée local qui abrite quelques jolies statues. L’ambiance est vraiment incroyable, toujours.
Nuit difficile avec Bruno qui souffre du poumon droit à chaque toux. Médecin au réveil qui conseille une visite à l’hôpital s’inquiétant d’une possible infection pulmonaire. Super, on va refaire du tourisme ! On découvre l’hôpital international en compagnie du docteur népalais qui ne nous quitte pas, et c’est indispensable ! Ça grouille de népalais, pas de secrétaires pour organiser tout ça, les patients entrent et sortent du cabinet de consultation pour voir si c'est leur tour ... On rencontre le gourou du poumon, qui finit son rdv précédent en démarrant celui de Bruno, et le moulin qui lui sert de bureau se remplit pour presser la consultation, d’autres attendent ... Ambiance speed ! Après une radio, il ne s'agit pas d'une infection pulmonaire mais plutôt d'une contracture douloureuse à force de tousser. En fait on découvrira au retour qu’il s’agit même d’une côte cassée ... On quitte cet endroit où on imagine sans problème arriver en bonne santé et repartir avec toutes les maladies exotiques possible, à commencer par la tuberculose qui est apparemment à la mode ici. Retour à l’hôtel pour dormir, dormir, et encore dormir, finalement le meilleur remède en ce qui me concerne.
On est fracassé. La dernière nuit dans l'Himalaya a été difficile, on a tous les deux une espèce de bronchite, nez, gorge, épuisement général, mal aux jambes ... Katmandou et notre hôtel de luxe vont être les bienvenus.
Décollage impressionnant, on salue les montagnes qui nous ont accueillies pendant
2 semaines, une demi-
Le taxi nous dépose au très bel hôtel Dwarika, le plus beau de la ville, tout en portes et fenêtres datant d'il y a 200 ans, on est prêt pour un contraste absolu : bain + douche + déjeuner salade/pain + sieste + massage ... Ça va déjà beaucoup mieux sauf que je suis épuisée et que dormir est ma seule envie.
Lobuche -
Le tout conduit par un Ngima tout content de faire un record et un Ngima3 qui participe activement puisqu'il a papoté avec Ngima toute la journée, en plus de porter ses 25kg. Exploit pour une strong team unie dans l'effort, et très motivée pour redescendre le plus vite possible.
On arrive à Namche vers 15h sous une pluie battante, dans les nuages, et avec l'orage.
On a quand même pris le temps de visiter le plus grand monastère du coin au passage,
Tengboche, quand trekking re-
Dormir, beaucoup. Manger, bien, pour récupérer les kilos perdus. Se soigner, enfin essayer, sachant que la fatigue n’aide pas.
On dîne avec Ngima et son frère, celui qui a fait l'Everest, plus l’Ama Dablam, le
Pumori ... Il a 26 ans, vit à Katmandou avec femme et enfants, en se demandant s'il
veut remonter là-
On paie les deux dernières journées plus celle-
Heureusement, Ngima qui a bien compris à qui il avait à faire et qui nous aime beaucoup
nous rajoute une bonne heure avec dénivelé pour aller déjeuner chez sa maman ! Une
grande maison en pierre, quelques champs, 3 fils guides, une belle-
Deux grosses heures plus tard on atteint Lukla, épuisés. C'est terminé, on s'écroule pour une grosse sieste récupératrice. L'avion est réservé pour demain matin, on peut tout mettre au sale, la douche attendra l'hôtel à Katmandou, et on en a finit avec le thé.